Qu’est-ce que la gestion indicielle ?
La gestion indicielle pour diversifier son portefeuille
La gestion indicielle consiste à reproduire les performances d’un indice boursier de référence, mais également à répliquer la performance de certains secteurs d’activité (santé ou technologie par exemple), de zones géographiques (indice Europe, indice US.…) ou encore de thématiques liées à des enjeux économiques spécifiques, comme le développement durable. Ces multiples leviers permettent d’avoir une allocation consistante, avec des frais de gestion réduits.
Quand l’indice suivi est en hausse tout va bien, mais lorsque l’indice baisse, le portefeuille diminue dans les mêmes proportions. Malgré cette corrélation mécanique, les investisseurs sont de plus en plus nombreux à privilégier ce mode de gestion, car répliquer un indice leur permet d’obtenir un portefeuille investi dans l’ensemble des titres représentatifs d’un marché, autrement dit d’avoir un portefeuille fortement diversifié.
Obtenir une performance sur le long terme
Si la rechute de 18 % de l’indice CAC 40 entre mai et décembre 2018 – après six années de hausse quasi ininterrompue, de 2012 à 2017 a relancé le débat sur la pertinence de s’arrimer aux grands indices, plusieurs études montrent que sur le long terme, la gestion indicielle est plus intéressante. Selon une étude de la société Standard & Poor’s de 2017, sur une période de quinze ans, comprenant les krachs de 2002 et 2008, à peine 5 % des fonds d’investissement gérés activement ont rapporté plus que l’indice auquel ils se comparaient.
Cette bonne performance, combinée à des frais de gestion plus faibles garantit de beaux jours à la gestion indicielle, indépendamment des soubresauts des marchés…. Et il peut s’avérer d’autant plus intéressant d’y réfléchir lorsque les indices sont au plus bas !
Covid-19 : quelle gestion indicielle ?
Chez GRESHAM Banque Privée, notre conviction est de proposer des supports indiciels qui combinent aussi bien des indices géographiques que sectoriels. Cette combinaison permet de bénéficier de la résilience des grandes capitalisations et de profiter des grandes tendances macroéconomiques qui seront plus que jamais amplifiées après la crise de la Covid-19.
